Nord Pas de Calais Picardie

Hauts de France (Nord Pas de Calais)

cliquez sur l'image afin de contacter la personne par mail

Jane de Montigny
Bénédicte Deleplanque
Chantal Ngarambe

Jane de Montigny


Un jour de février 2016, j'ai fait connaissance avec cette grande "Dame" qu'est "L'autolouange"..Impossible pour moi de ne pas partager ce que j'ai vécu dans  la rencontre de l'écriture et des énergies,  ainsi que le souffle de vie qui m'a traversée plusieurs fois lorsque je proclamai mes autolouanges .

J'ai donc commencé  à l'intégrer  dans ma pratique de Voice Dialogue et de coaching. J'anime par ailleurs des stages Autolouange et Voice Dialogue dans la région lilloise.  Le voice Dialogue permet de faire alliance avec nos gardiens, nos images sociales, de détricoter notre cher  mental avec bienveillance;  l'autolouange donne alors accès à nos  terres sauvages, à nos  potentiels enfouis, nos intuitions , nos   énergies de vie , tout en  nous ajustant dans note verticalité et notre horizontalité.


Bénédicte Deleplanque


L’autolouange est un support dont je me sers lors de mes accompagnements. …J’ai appelé cela la PHOTOLOUANGE . A partir de photos, chacun est invité à écrire dans l’esprit de l’autolouange un texte. En laissant parler ses émotions au regard de l’image. Cette dernière peu être un portrait de soi ou une prise de vue effectuée par la personne elle même..…

Dans le premier cas, La photolouange est un outil qui permet d’aller vers soi et souvent de restaurer son estime au travers de l’image de soi.



Chantal Ngarambe


J'ai adoré les ateliers et la formation sur l'autolouange et je suis en réflexion sur la façon d'en faire profiter les autres.



Françoise Bazan


L’autolouange - pelote que l’on déroule en tirant sur le fil de soi, accouchement des mots enfouis, retrouvailles avec les sentiments enfuis - sert de clé au plus beau coffre à trésors : sa propre richesse. Facilitatrice, je suis passeuse de mots et de joie. Bienveillante, j’accueille chaque personne comme exceptionnelle, belle et digne. Ainsi, je n’ai pour mes ateliers qu’une prétention simple qui fera mon bonheur :  aider les cabossés de la vie à mettre à distance leurs maux par un accès à la parole(re)trouvé.

Accompagner humblement les personnes handicapées dans leur expression, parfois (souvent ?) maladroite mais toujours authentique et bouleversante. Dans un compagnonnage fraternel, cheminer avec les militaires blessés sur la voie de l’acceptation de leur nouvel être où d’abondants talents encore en friche pourront rendre utile et gratifiant le reste de leur vie. Fournir l’étincelle sacrée qui réconcilie les enfants en souffrance avec eux-mêmes, dépoussière les rêves qu’ils ne s’autorisaient plus et (r)allume en eux la grande flamme du désir de vivre pleinement leur vie. Ramener au grand jour la fraicheur et la jeunesse qui, comme la belle au bois dormant, sommeillent dans les personnes âgées en un regain d’espérance. Faire (re)jaillir la source (parfois tarie) de l’essence féminine en m’appuyant sur la grâce et le goût du don présent en chaque femme.

Chaque participant se dit à la première personne, tout en vérité et en amplification. Son collage met en forme et couleur ce que les mots peinent à exprimer. La proclamation par chacun, dans un silence chaleureux et attentif, permet de se redécouvrir comme une merveille unique au monde. Et pourtant, ce que proclame chacun de soi retentit comme un jaillissement universel immédiatement accessible à tous dans la plus grande simplicité.


Frédérique Petit


Analyste de rêves, accompagnatrice en Croissance Intérieure pour les particuliers et les entreprises, j’ai intégré l’autolouange en point d’orgue de mes accompagnements individuels ou collectifs : délicat drapeau à ses couleurs, planté au sommet éphémère d’un parcours vers soi toujours singulier, confrontant, émouvant, pacifiant.

J’aime amener chacun à ce qu’il devienne témoin de son vécu, pour que rien de ce qui a été expérimenté ne soit vain ou honteux. L’autolouange est un jeu d’écriture de soi à son âme, qui offre au monde qui l’on est dans l’instant, par le truchement ciselé de mots qui, enfin, peuvent se dire et s’entendre, et ouvrir ainsi des voies nouvelles aux arpenteurs d’intériorité.